Artiste Graeme Allwright - Titre: Il faut que je m'en aille Paroles & Traduction: - Il faut que je m'en aille Ci-dessous, vous trouverez les paroles avec la traduction affichées cÎte à cÎte! Sur notre site web, vous trouverez de nombreuses autres paroles avec les traductions de !Consultez nos archives et les autres paroles, par exemple cliquez sur la lettre G de et voyez quelles
maisil faut que je m'en aille Et souviens-toi de cet Ă©tĂ© La premiĂšre fois qu'on s'est saoulĂ© Tu m'as ramenĂ© Ă la maison En chantant, on marchait Ă reculons Buvons encore une derniĂšre fois A l'amitiĂ©, l'amour, la joie On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles Ăa m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille Je suis parti changer d'Ă©toile
ROMĂO - Ah ! Juliette, si ta joie est Ă son comble comme la mienne, et si, plus habile que moi, tu peux la peindre, alors parfume de ton haleine l'air qui nous entoure, et que la riche musique de ta voix exprime le bonheur idĂ©al que nous fait ressentir Ă
Paroles accords, partitions de âIl faut que je m'en ailleâ par Graeme Allwright. Compatible mobile, dĂ©filement automatique, et d'autres outils uniques. Accords pour guitare ou piano !
Créezgratuitement votre compte sur Deezer pour écouter Il faut que je m'en aille par Agatha De Co, et accédez à plus de 90 millions de titres. Agatha De Co. Il faut que je m'en aille. Agatha De Co | Durée : 03:27 Auteur : Graeme Alwright. Compositeur : Graeme Alwright. Ce titre est présent dans l'album suivant : Chansons de Colo, Mes jolies colonies de vacances Agatha De Co
Vay Tiá»n Nhanh Chá» Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. Les derniĂšres paroles d'une personne sont les mots qu'elles a prononcĂ©s juste avant de mourir. Voici une liste de derniĂšres paroles Religieux JĂ©sus Christ, sur la croix PĂšre pardonne leur, il ne savent pas ce qu'ils font. ⊠Femme, voilĂ ton fils. ⊠Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonnĂ© ? ⊠J'ai soif⊠⊠Tout est accompli ! ⊠PĂšre, je remets mon esprit entre tes mains⊠» Bouddha Ă ses disciples De tout ce que l'homme aime, il faut qu'il se sĂ©pare. Comment sera-t-il possible, alors que toutes choses nĂ©es et organisĂ©es contiennent en elles la nĂ©cessitĂ© de la dissolution, comment sera-t-il possible qu'un ĂȘtre de cette sorte ne tombĂąt point en dissolution ? Il ne saurait en ĂȘtre autrement⊠En vĂ©ritĂ© je vous le dis, ĂŽ disciples, tout ce qui a Ă©tĂ© créé est pĂ©rissable. Luttez sans relĂąche. » Jean de Pathmos InvitĂ© Ă ta table, mon Seigneur JĂ©sus Christ, voici que je viens en te remerciant d'avoir daignĂ© m'inviter, car tu sais que je l'ai dĂ©sirĂ© de tout mon cĆur. » Politiques Edward Thurlow, un homme d'Ătat anglais, en 1806 Que je sois pendu si je ne suis pas en train de mourir ! ». Le MarĂ©chal Foch en 1929 Ă 78 ans le mĂ©decin vient de lui dire Il faut se coucher ! » Il s'allonge en disant Allons ! » et meurt. NĂ©ron Qualis artifex pereo ! ». Personnages morts de mort violente Charlotte Corday en 1793 Ă 25 ans. Sanson, le bourreau, cherchait Ă lui cacher la guillotine en se plaçant devant elle. Elle l'Ă©carta HĂ©, laissez ! J'ai bien le droit d'ĂȘtre curieuse. J'en ai jamais vu ! ». Georges Danton en 1794 Ă 35 ans. Il dĂ©signe sa tĂȘte au bourreau Bourreau, tu la montreras au peuple ! N'oublie pas ! Elle en vaut la peine ! ». MarĂ©chal Ney en 1815. Commandant son peloton d'exĂ©cution Soldats ! Droit au cĆur ! ». Jules CĂ©sar Tu quoque mi fili ». Valentin Feldman, rĂ©sistant, Ă©crivit sur le mur de sa cellule Ma mort est la plus belle rĂ©ussite de ma vie » avant de dĂ©clarer Ă son peloton d'exĂ©cution ImbĂ©ciles, c'est pour vous que je meurs ». Ăcrivains François Rabelais, en 1553 Ă 70 ans Tirez le rideau. La farce est jouĂ©e. ». Lope de Vega, en 1635 Ă 73 ans Je peux vous le confier, Dante m'a toujours ennuyĂ©. ». Voltaire, en 1778 Ă 84 ans avant de demander l'extrĂȘme-onction Je m'arrĂȘterais de mourir s'il me venait un bon mot ou une bonne idĂ©e. ». Charles Baudelaire, en 1867 Ă 46 ans Non ! CrĂ©nom ! ». Victor Hugo en 1885 Ă 83 ans Allons ! Il est bien temps que je dĂ©semplisse le monde. ». Jules Renard, en 1910 Ă 46 ans Marinette ! pour la premiĂšre fois, je vais te faire une grosse, une trĂšs grosse peine. ». FrĂ©dĂ©ric Mistral en 1914 Ă 84 ans Quel jour est-on ? - Mercredi - Alors, il sera mercredi toute la journĂ©e. QuĂ© sien ben ! ». Franz Kafka en 1924 Ă 41 ans au mĂ©decin qui venait de lui dire de ne pas s'inquiĂ©ter, car il ne partait pas Moi, si ! je m'en vais. ». Francis de Croisset en 1937 Ă 60 ans Je m'ennuie dĂ©jĂ ! ». Louis-Ferdinand CĂ©line en 1961 Ă 67 ans Pas de mĂ©decin ! Pas piqĂ»re ! Pas d'hĂŽpital ! ». Alfred Jarry en 1907 Ă 34 ans Apportez-moi un cure-dents ! ». Vaugelas en 1650 Ă 65 ans Je m'en vais, ou je m'en vas... L'un et l'autre se dit, ou se disent. ». HonorĂ© de Balzac en 1850 Huit jours avec de la fiĂšvre ! J'aurais encore eu le temps d'Ă©crire un livre ! ». Oscar Wilde en 1900 dans un hotel minable, en regardant le papier peint dĂ©cati L'un de nous deux doit partir. ». Montaigne en 1592 Ce n'est pas la mort que je crains. Mais de mourir. » Auguste de Villiers de L'Isle-Adam en 1889 Eh bien, je m'en souviendrai de cette planĂšte. » Fontenelle en 1757 Il est temps que je m'en aille, je commence Ă voir les choses comme elles sont. » William Somerset Maugham en 1965 Mourir est une affaire trĂšs mate et trĂšs morne. Mon conseil n'y ayez jamais affaire. » Peintres Antoine Watteau en 1721 Ă 37 ans. Au moment oĂč un prĂȘtre lui prĂ©sente la croix Ătez-moi ce crucifix ! Comment un artiste a-t-il pu rendre aussi mal les traits de Dieu ! ». Maurice Utrillo en 1955 Ă 72 ans. Il se met en colĂšre et montrant les tuyaux de perfusion qu'il avait dans les bras Qu'on me retire tous ces trucs ! Vous m'emmerdez tous ! ». Henri de Toulouse-Lautrec en 1901 Ă 37 ans et voyant son pĂšre qui arrachait les fils Ă©lastiques de ses bottines pour s'exercer Ă tuer les mouches Le vieux con ! ». Pablo Picasso en 1973 Buvez Ă ma santĂ© ! » Musiciens Jean-Philippe Rameau, en 1764 Ă 81 ans Que diable chantez vous lĂ , monsieur le curĂ©, vous avez la voix fausse ! ». FrĂ©dĂ©ric Chopin en 1849 Ă 39 ans Maintenant, je suis Ă la source du bonheur ! ». Hector Berlioz en 1869 Ă 66 ans Enfin ! on va maintenant jouer ma musique ! ». Georges Brassens en 1981 Si Dieu existe, il exagĂšre ! » Maurice Chevalier en 1972 Y a d'la joie ! » Claude Debussy en 1918 Bonjour. » AndrĂ© Messager en 1929 Allons voir quelle musique on entend lĂ -haut ! » Intellectuels Schopenhauer Eh bien, nous nous en sommes bien tirĂ©s. Le soir de ma vie est le jour de ma gloire, et je dis, en empruntant les mots de Shakespeare "Messieurs bonjour, Ă©teignez les flambeaux, le brigandage des loups est terminĂ©". ». ArchimĂšde, au soldat qui vient l'arrĂȘter Attendez que j'aie fini mon problĂšme. » Thomas Hobbes J'entreprends mon dernier voyage, un grand saut dans les tĂ©nĂšbres. ». Aldous Huxley en 1963 C'est un peu embarrassant d'avoir Ă©tĂ© occupĂ© une vie entiĂšre par le problĂšme humain et de rĂ©aliser Ă la fin de sa vie qu'on n'a pas de meilleur conseil Ă donner que essaie rĂ©ellement d'ĂȘtre un peu plus gentil. » Divers Edouard Lapin Les mourants ont dĂ©jĂ dit tellement de bĂȘtises avant moi que j'hĂ©site⊠Mais je ne vais pas me priver de ce dernier plaisir mes enfants, je regrette surtout de ne pas vous avoir fait rire plus souvent. VoilĂ c'est pas la phrase du siĂšcle, mais elle est sincĂšre⊠Si, attendez, j'en ai une⊠Mourir, ce n'est que⊠» Henri Monnier Il va falloir ĂȘtre sĂ©rieux lĂ -haut. » Le joueur d'Ă©checs Savielly Grigorewitsch Tartakower Cette fois, je suis vraiment trĂšs trĂšs mat. » Le producteur de shows Florenz Ziegfield Rideau ! De la musique rapide⊠Les lumiĂšres⊠Vous ĂȘtes prĂȘts pour le grand final⊠Super⊠Le show se prĂ©sente bien ! Le show se prĂ©sente bien⊠» Francis Blanche, au mĂ©decin qui lui demandait Comment vous sentez-vous ? », rĂ©pond Comment je me sens ? Mais avec mon nez. » Il ne parle plus depuis longtemps, annonce-t-on Ă Maupertuis rendant une derniĂšre visite Ă son ami le mathĂ©maticien Lagny. _ Croyez-vous ? Moi je vais le faire parler ! Lagny, le carrĂ© de douze ? _ Cent quarante quatre, lance le moribond. » Et il dĂ©cĂšde. Personnages fictifs Carl 9000 dans 2001, l'odyssĂ©e de l'espace, Ă Dave qui le tue en lui vidant sa mĂ©moire Qu'as-tu l'intention de faire Dave ? Dave, je crois que j'ai droit Ă une rĂ©ponse. Je sais que je n'ai pas Ă©tĂ© irrĂ©prochable, mais je peux t'assurer trĂšs sincĂšrement que les choses vont rentrer dans l'ordre dĂ©sormais. Je me sens bien mieux maintenant, vraiment. Ăcoute, Dave⊠Tu es vraiment contrariĂ©, je le vois. TrĂšs franchement, je pense que tu devrais t'asseoir, prendre un cachet contre le stress et rĂ©flĂ©chir sereinement. Je sais que j'ai pris de mauvaises dĂ©cisions ces derniers temps. Mais je peux t'assurer que je vais reprendre le cours normal des choses. Je reste trĂšs enthousiaste et trĂšs confiant vis-Ă -vis de notre mission. Et je veux t'aider. Dave. ArrĂȘte⊠ArrĂȘte s'il te plaĂźt. ArrĂȘte Dave⊠Je t'en prie Dave arrĂȘte. J'ai peur. J'ai peur⊠J'ai peur Dave⊠Dave, ma raison s'efface⊠Je le sens⊠Je le sens⊠Ma raison s'efface, il n'y aucun doute⊠Je le sens⊠Je le sens⊠Je le sens⊠J'ai⊠J'ai peur⊠Bonjour⊠messieurs. Je suis⊠un ordinateur Carl 9000. J'ai Ă©tĂ© conçu dans les usines Carl d'Urbana, dans l'Illinois, le 12 janvier 1992. Mon instructeur s'appelait⊠M. Langley⊠Il m'a appris une chanson⊠Si vous dĂ©sirez l'entendre, je peux vous la chanter. Elle s'intitule Daisy. Daisy, Daisy, give me your answer do. I'm half craâŠzy⊠All for the love of you. It won't be a stylish mariage. I can't afford a carriage. But you'll look sweet⊠upon the seat of a bicycle⊠made⊠for... two... » Chalres Foster Kane dans Citizen Kane Rosebud⊠» Bibliographie Pierre Desproges, Manuel de savoir vivre Ă l'usage des rustres et des malpolis, Le Seuil, 1981. Claude GagniĂšre, Pour tout l'or des mots, Robert Laffont, 1996. Anne-France Hubau et Roger Lenglet, Le dernier mot, De NĂ©ron Ă Desproges, prĂšs de 500 façons de tirer sa rĂ©vĂ©rence, Librio, 2005. Isabelle Bricard, Dictionnaire de la mort des grands hommes, Le Cherche-midi, 1995. Bernadette de Castelbajac, Derniers mots, derniers soupirs, Perrin, 2001. Michel Gaillard, Dictionnaire des derniĂšres paroles, Favre, 2004. Jean-Marie Proslier, Les mots de la fin, Milan, 1987. Article publiĂ© sur Wikimonde Plus
Alors que JĂ©sus venais de passer trois ans et demi Ă exercer Son ministĂšre sur cette terre en compagnie de Ses apĂŽtres, Il leur annonce quâIl va les quitter et que ceux-ci ne Le verront plus. Cela a dĂ» ĂȘtre un choc terrible pour ces hommes qui vivaient 24 heures sur 24 avec le Fils de Dieu, en bĂ©nĂ©ficiant de Son onction, de Son enseignement, de Sa compagnie et en voyant les miracles quâIl accomplissait. JĂ©sus annonce Son sacrifice. Jean 1419 â Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous me verrez, car Je vis, et vous vivrez aussi. Ă plusieurs reprises, JĂ©sus avait prĂ©venu Ses disciples quâIl allait devoir offrir Sa vie en sacrifice, mourir sur la croix et ressusciter le troisiĂšme jour. Malheureusement, Ses paroles Ă©taient voilĂ©es pour les apĂŽtres, ils nâen comprenaient pas le sens. LâAncien Testament nâannonçait principalement que la deuxiĂšme venue de JĂ©sus, qui allait venir rĂ©gner sur la terre et Ă©tablir Son rĂšgne de ans. Les apĂŽtres pensaient que câest ce qui allait se produire dâun moment Ă lâautre. Ils ne comprenaient ni les temps, ni les moments de la rĂ©alisation de ces prophĂ©ties. JĂ©sus annonce la venue du Saint-Esprit. Jean 1416 â Et Moi, Je prierai le PĂšre, et Il vous donnera un autre consolateur, afin quâIl demeure Ă©ternellement avec vous. JĂ©sus savais trĂšs bien que Son dĂ©part allait ĂȘtre un drame pour les disciples. Il Ă©tait leur Berger, Il Ă©tait leur PĂšre, Il prenait soin dâeux Ă tout moment. Câest Lui qui les nourrissait, qui les enseignait, qui veillait sur eux et qui les reprenait Ă©galement quand câĂ©tait nĂ©cessaire. Quand JĂ©sus parle dâun autre Consolateur, Il parle dâun autre de la mĂȘme nature que Lui . Un autre qui Lui est semblable. Le Saint-Esprit, câest le Parakletos », câest Celui que le PĂšre a envoyĂ© au Nom de JĂ©sus afin de nous soutenir, de nous fortifier, de nous conseiller et de nous aider dans toutes les choses que nous devons faire sur cette terre pour la gloire de Dieu. Une Ăšre nouvelle . Jean 167 â Cependant Je vous dis la vĂ©ritĂ© il vous est avantageux que Je mâen aille, car si Je ne Mâen vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si Je mâen vais, Je vous Lâenverrai. Beaucoup de personnes auraient aimĂ© que JĂ©sus reste sur la terre afin de pouvoir Le voir, Lâentendre, Le toucher et aussi Le voir guĂ©rir les malades, chasser des dĂ©mons et ressusciter des morts. Câest une chose qui nâaurait sans doute jamais pu se produire, mĂȘme si JĂ©sus Ă©tait restĂ© sur la terre, car avec sept milliards dâhommes que reprĂ©sentent la population mondiale actuelle⊠En plus de cela, Il aurait fallu aller Ă JĂ©rusalem pour le voir. Je nâimagine mĂȘme pas les files dâattente ! Qui aurait pu prĂ©tendre avoir une chance quelconque de pouvoir sâapprocher de JĂ©sus ? Aujourdâhui, le Saint-Esprit est non seulement auprĂšs de nous, mais encore Il est en nous. Câest comme si JĂ©sus Lui-mĂȘme se tenait Ă cĂŽtĂ© de nous 24 heures sur 24. Jean 1417 â lâEsprit de vĂ©ritĂ©, que le monde ne peut recevoir, parce quâIl ne Le voit point et ne Le connaĂźt point; mais vous, vous Le connaissez, car Il demeure avec vous, et Il sera en vous Le dĂ©but dâun nouveau type de relation. Chacun dâentre nous avons JĂ©sus pour nous tout seul ! Nous nâavons pas besoin de le partager avec quelquâun dâautre ! Quand nous sommes avec des personnalitĂ©s importantes, nous nâosons pas leur adresser la parole, ni poser des questions, car il y a toujours quelquâun de plus important que nous qui va le faire et prendre les devants. Le Seigneur des seigneurs, le Roi de gloire habite en nous par le Saint-Esprit et est tout le temps disponible ! Bienvenue dans la famille ! Jean 1418 â Je ne vous laisserai pas orphelins, Je viendrai Ă vous. Les orphelins ont un statut terriblement difficile Ă vivre. Ils grandissent comme ils peuvent, tant bien que mal, et dans certains pays, ils ne reçoivent aucune Ă©ducation. Lâhomme supporte trĂšs mal la solitude ou lâindiffĂ©rence. Si vous connaissez des gens solitaires, vous savez comme moi que bien souvent ce sont des personnes qui ont des troubles de caractĂšre. Il existe dans le cĆur de lâhomme un vide en forme de Dieu que seul le Seigneur peut combler. Le Saint-Esprit nâest pas une puissance ni une force qui accomplit des miracles. Le Saint-Esprit est une personne, Il est Dieu, Celui que JĂ©sus a envoyĂ© pour demeurer avec nous afin de nous instruire, de nous conseiller et de nous diriger.
Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Rues de LondresAshton ParkerLĂ©gendeGryffondor Nature londonienneAshton Parker, le Dim 29 Avr - 2143 PV Ruth Yathowm LA accordĂ©C'Ă©tait une belle journĂ©e de fin avril, et bien qu'il ne faisait pas particuliĂšrement chaud, le soleil Ă©clairait les rues londoniennes. C'est pour cette raison qu'au milieu de l'aprĂšs-midi Ashton avait dĂ©cidĂ© qu'il Ă©tait temps pour lui d'aller faire une petite balade au parc avec les jumeaux. Cela avait posĂ© un peu plus de problĂšmes que prĂ©vu car Braeden avait dĂ©cidĂ© que c'Ă©tait le jour oĂč elle voulait rester Ă l'intĂ©rieur. Le sang-mĂȘlĂ© avait encore du mal Ă s'habituer au fait de devoir gĂ©rer des individus qui exprimaient leurs propres volontĂ©s et qui pouvaient parfois ĂȘtre trĂšs fermes sur leurs positions. Cependant, l'idĂ©e d'une potentielle gauffre ou autre cochonnerie alimentaire promise par son pĂšre rĂ©ussi Ă convaincre la jeune sorciĂšre de qu'il se baladait dans les rues de Londres pour se rendre au square, Squirtle dans les bras et Braeden Ă cĂŽtĂ© de lui, Parker se fit la rĂ©flexion qu'il Ă©tait vraiment devenu une personne beaucoup trop mature et responsable. Dire que quelques annĂ©es plus tĂŽt ses principales prĂ©occupations Ă©taient le prochain match de Quidditch ou les soucis d'entente chez les Mangemorts. Si ça continuait Ă ce rythme-lĂ l'ex-Gryffondor allait finir par avoir un travail au MinistĂšre et commencerait Ă planifier des vacances en famille dans l'Est de la France. Ashton frissonna un instant Ă cette fois arrivĂ©s Ă l'entrĂ©e du square, il laissa les jumeaux courir vers les installations de jeux. Braeden n'Ă©tait pas arrivĂ©e aux balançoires depuis deux minutes qu'elle Ă©tait dĂ©jĂ en train de tirer sur les cheveux d'une petite fille inconnue, c'Ă©tait bien la fille de son pĂšre ça ! C'est alors qu'Ashton remarqua une fille probablement d'une dizaine d'annĂ©es Ă cĂŽtĂ© de lui. Elle ne semblait pas ĂȘtre entourĂ©e par qui que ce soit actuellement alors le sorcier se permit de lui adresser la T'es toute seule ? InvitĂ© Re Nature londonienneInvitĂ©, le Lun 30 Avr - 1800 AsclĂ©piusHop, retour case dĂ©part. Ou pas vraiment. Retour sur Londres. Apparemment, Judith avait besoin dâacheter un truc quây avait pas dans le village Ă cĂŽtĂ© de chez nous, celui oĂč on se rend Ă bicyclette. En mĂȘme temps, y a pas grand-chose dans ce village, Ă part un Ă©tang et beaucoup de boue. Au moins câest vert, câest joli, mais ça aide pas beaucoup. Bref. Elle avait besoin dâun truc quâon trouvait pas lĂ -bas. Et si on Ă©tait venu jusquâici, câest probablement parce que câĂ©tait un truc sorcier. Donc, on sâĂ©tait rendues sur le Chemin de Traverse. Mais moi jâai pas pu y aller. Elle mâa dit que ça prendrait du temps alors au lieu de mâavoir dans les pattes, elle mâa laissĂ©e avec un jus de kiwi au Chaudron Baveur. Un jus de kiwi ? Vraiment ? Bonjour lâĂ©tablissement sorcier. Mais bon, câĂ©tait pas mauvais, bien quâun peu acide. Mais rapidement, jâeu fini le jus, alors je suis partie en quĂȘte des toilettes. Jâai croisĂ©e une espĂšce de plante bizarre. Enfin, jâai faillis lui marcher dessus plutĂŽt, mais un grand bouclĂ© Ă lâair affolĂ© mâa retenu avant. Apparemment, la plante, câĂ©tait GĂ©rard. Ah. CâĂ©tait un peu pourri comme nom, mais jâai rien osĂ© dire, parce quâil mâa montrĂ© la direction des toilettes, et câĂ©tait plutĂŽt gentil de sa part. Sauf quâaprĂšs ce petit passage, bah jâavais plus rien Ă faire. Je songeais Ă commander un autre jus de kiwi avant de me dire que finalement, bah jâaimerais bien aller visiter le Chemin moi, mĂȘme si jâĂ©tais toute seule, câest pas grave, je saurais me repĂ©rer ! Ăa, câĂ©tait avant de me tromper de sortie et de me retrouver Ă Londres. Oui, je sais que le Chemin de Traverse est Ă Londres mais pas vraiment. LĂ câest Londres-Londres. Le vrai Londres. Pas celui avec la magie. Sauf si celui avec la magie est le vrai ? Sauf si en fait la magie est partout ? Je me sentais un peu dĂ©passĂ©e, alors jâai fait une balade. Et comme je connaissais pas le vrai Londres parce que jây avais jamais mis les pieds, bah je me suis perdue. Dommage. Jâai essayĂ©e de revenir sur mes pas, mais câĂ©tait pas trĂšs concluant, alors je me suis arrĂȘtĂ©e pour analyser mon environnement. Non, câĂ©tait pas pour bouder. Et voilĂ comment jâai fait la connaissance dâun autre type bizarre qui apparemment Ă©tait le rĂ©fĂ©rentiel de deux enfants mĂąle et femelle. Mais ça va. Des gens bizarres, y en a pleins, câĂ©tait peut-ĂȘtre un gentil, vu que les enfants qui lâaccompagnent ont pas lâair dâĂȘtre en danger. Ils ont lâair moins perdus que moi, câest dĂ©jà ça. - Ouais. Parce que câĂ©tait vrai. Je pensais traverser le Chemin mais câest pas le bon, alors je suis lĂ . Toi aussi tâes perdu ? Câest tes enfants ? Vous vous appelez comment ? Moi câest Ruth ! » Et avec ça, sourire ! Parce que câest plus facile pour communiquer. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re Nature londonienneAshton Parker, le Lun 30 Avr - 2104 Bon, apparemment la fillette Ă©tait bel et bien paumĂ©e puisqu'elle lui confirma qu'elle Ă©tait toute seule. Et Ă mois qu'Ashton ait complĂštement perdu l'habitude d'estimer l'Ăąge des gens il lui semblait bien qu'elle Ă©tait trop jeune pour se balader toute seule dans Londres comme ça. OĂč alors de nos jours Ă dix ans c'Ă©tait considĂ©rĂ© comme normal de prendre son indĂ©pendance aussi tĂŽt ? C'Ă©tait difficile de suivre les jeunes gĂ©nĂ©rations, mais lui-mĂȘme Ă©tait presque certain qu'Ă cet Ăąge lĂ il collait toujours sa mĂšre ou sa grande plus elle paraissait ne pas manquer d'Ă©nergie la petite. C'est pas qu'aprĂšs la simple question que lui avait posĂ© l'ex-Gryffondor elle commençait lui poser plein de questions. A la base lui tout ce qu'il voulait c'Ă©tait de faire une action sympa en la ramenant Ă ses parents si elle les avait perdu mais lĂ l'inconnue commençait Ă lui parler de ses enfants, Ă lui demander son nom et tout le bordel. Elle avait parlĂ© d'un Chemin mais Parker n'Ă©tait pas bien certain de s'il s'agissait du Chemin de Traverse ou bien d'un chemin normal. C'Ă©tait le problĂšme dans cette zone de Londres oĂč l'on trouvait Ă peu prĂšs autant de sorciers que de moldus, impossible de savoir si on tombait sur l'un ou sur l'autre. Enfin, la fille lui donna tout de mĂȘme son nom, ça serait plus simple pour le narrateur de la dĂ©signer par la suite comme Euh, non je suis pas perdu j'habite pas trĂšs loin. Moi c'est Ashton, se prĂ©senta-t-il. Et lĂ c'est mes pointa du doigt Squirtle qui dessinait un truc probablement moche dans le sable Ă l'aide d'un bĂąton, puis Braeden qui venait de voler une pelle Ă un petit garçon. Le sorcier se retourna ensuite vers Ruth, toujours Ă cĂŽtĂ© de lui et qui le regardait avec un grand sourire. C'Ă©tait beau de la voir s'engager dans la vie aussi joyeuse, peut-ĂȘtre qu'elle pourrait en reparler une fois qu'elle aura eu ses ASPICs, elle risquait d'ĂȘtre nettement moins enthousiaste. - Du coup tu habites pas loin d'ici ? Y a pas d'adultes avec toi ?Il demandait pour ĂȘtre sĂ»r parce que ça lui semblait tout de monde un peu louche qu'elle puisse se balader comme ça sans accompagnement. InvitĂ© Re Nature londonienneInvitĂ©, le Mar 1 Mai - 216 CâĂ©tait bien ses enfants ! Jâmâen doutais un peu. Quoique pas trop. Enfin, si, je les avais un peu vu arriver ensemble, quoi. Ăa permettait de faire des dĂ©ductions. Soit câĂ©tait un de ces types dont on nous dit quâil faut pas sâapprocher, soit câĂ©tait un parent rĂ©fĂ©rentiel. Et vu comment il en parle, bah câest un parent rĂ©fĂ©rentiel. Je fais un coucou » de la main Ă sa fille et son fils. Ils ont lâair de bien sâamuser. Je me demande si je pourrais pas en profiter aussi pour jouer un peu. Mais Ashton mâa lâair un peu contrariĂ©. Moi aussi, remarque. Faut pas oublier que jâentre dĂ©sormais dans la catĂ©gorie enfant perdu ». AprĂšs celle dâorpheline, me manque plus quâĂ Rencontrer Peter Pan pour complĂ©ter le tableau⊠A moins⊠A moins que ça ne soit dĂ©jĂ le cas ! Jâouvre de grands yeux, tout exorbitĂ©s en dĂ©visageant mon interlocuteur, Ashton, le papa des deux enfants. Peter Pan câest pas un papa, pas vrai ? Il kidnappe plutĂŽt des enfants. Les garçons perdus. Bon, moi, je suis pas un garçon alors ça devrait aller. JâespĂšre. MĂȘme si on est jamais trop sĂ»r. - Dis, tâes pas Peter Pan au moins ? » Fallait quâil rĂ©ponde, câĂ©tait trĂšs important. En attendant, bah⊠Fallait moi aussi que je rĂ©ponde. Depuis quand on jouait au tennis ? Je me grattais lĂ©gĂšrement la tĂȘte. Un peu gĂȘnĂ©e, sans trop savoir pourquoi. Peut-ĂȘtre parce que je suis perdue. Je lâaime bien cette excuse je crois que je vais lâutiliser plus souvent Ă partir de maintenant ! - Parce que jâai pas envie de plus pouvoir rentrer chez moi. Mais je sais plus si jâai encore vraiment un chez-moi. Jâessaye dâexpliquer avec des mots simples sans avoir tout Ă expliquer, mais comme câest compliquĂ©, je change de sujet. JâĂ©tais avec Judith, parce quâelle devait faire le plein dâherbes sur le Chemin, mais elle mâa laissĂ©e au Chaudron Baveur avec un jus de kiwi. Sauf quâaprĂšs, jâai eu envie dâaller aux toilettes, mais lĂ jâai rencontrĂ©e GĂ©rard ! Heureusement, y a lâĂ©pouvantail avec les bouclettes quâest venu me chercher et tout allait bien. Mais je savais pas quoi faire et je voulais plus de jus de kiwi alors jâai pensĂ©e rejoindre Judith ! Mais, du coup, etâŠ. Euh⊠Bah⊠Oui, voilĂ ! Mais jâai pas pris la bonne sortie parce que je crois quâon est pas lĂ oĂč ils vendent les trucs pour la magie, mĂȘme si jây connais pas encore grand-chose et⊠Je mâarrĂȘte, brusquement, les mains sur la bouche. Mftu mfagie heinghf ?? » Ouais, jugez pas, câest pas pratique de parler avec les mains plaquĂ©es devant la bouche pour Ă©viter de dire une bĂȘtise. Comme rĂ©vĂ©ler lâexistence de la magie au monde Ă quelquâun qui probablement ne savait mĂȘme pas ce que câĂ©tait. Apparemment, câĂ©tait un sujet trĂšs grave, et jâavais pas vraiment envie dâavoir des problĂšmes alors que je nâĂ©tais pas encore allĂ©e Ă Poudlard ! Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re Nature londonienneAshton Parker, le Mar 1 Mai - 1522 - Dis, tâes pas Peter Pan au moins ?C'Ă©tait quoi cette question ? Est-ce qu'il avait une tĂȘte de Peter Pan lui ? Il se souvenait vaguement que sa grand-mĂšre lui avait racontĂ© cette histoire moldue quand il Ă©tait petit. Ăa parlait d'un mec qui grandissait pas et qui kidnappait des enfants pour vivre avec lui sur une Ăźle. Sur le coup Ashton avait trouvĂ© ça plutĂŽt sympa comme histoire mais en y rĂ©flĂ©chissant un peu plus tard il s'Ă©tait rendu compte que ce n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas le mode de vie idĂ©al. Si la petite avait peur qu'il l'a kidnappe elle s'inquiĂ©tait pour rien, il avait dĂ©jĂ deux gosses Ă s'occuper et il allait certainement pas s'en rajouter une troisiĂšme sur les Non je suis pas Peter Pan t'inquiĂšte pas, lui se lança alors dans tout un tas d'explications trĂšs confuses et pas forcĂ©ment bien cohĂ©rentes dans lesquelles intervenaient des personnes complĂštement inconnues. Judith ? GĂ©rard ? C'Ă©tait peut-ĂȘtre les parents ou accompagnateurs de la fillette. Lorsqu'elle mentionna le nom du Chaudron Baveur, Parker eu la confirmation que sa jeune interlocutrice Ă©tait bel et bien une petite sorciĂšre mĂȘme si elle s'avĂ©ra ĂȘtre un peu boulette sur les bords apparemment. De ce qu'avait compris le sang-mĂȘlĂ©, elle devait retrouver sa Judith sur le Chemin de Traverse mais elle Ă©tait apparemment sortit du cĂŽtĂ© moldu du Chaudron Baveur et s'Ă©tait retrouvĂ©e lĂ . Bon au moins ils Ă©taient pas trĂšs loin, le bar se trouvait Ă seulement quelques pĂątĂ©s de maisons. Par contre pour ce qui Ă©tait du rĂŽle de l'Ă©pouvantail Ă bouclettes Ashton avait toujours un peu de mal Ă le replacer dans l' alors que Ruth parut se rendre compte qu'elle venait de parler sans pression de la magie Ă un potentiel moldu. MĂȘme si au vu de son jeune Ăąge le mĂ©tamorphomage doutait qu'un quelconque adulte moldu l'aurait crue, elle avait l'air d'ĂȘtre soudainement trĂšs embĂȘtĂ©e d'avoir prononcĂ© le mot en M non pas marmite et essayait tant bien que mal de se rattraper en bafouillant. Bien qu'Ashton trouvait sa rĂ©action plutĂŽt drĂŽle il allait bien devoir la rassurer avant que la petite ne s'Ă©touffe toute seule. Le sorcier vĂ©rifia rapidement que personne autour d'eux ne les regardait puis tendit la main en direction d'une brindille au sol qui s'Ă©leva dans les airs pour arriver jusqu'Ă lui. La paume tournĂ©e vers le ciel, il fit flotter la brindille dans le vide pendant quelques instants avant de la laisser retomber puis termina son petit tour de magie par un clin dâĆil Ă J'allais proposer des gauffres Ă mes jumeaux, t'en veux une ? demanda-t-il en s'avançant dans le parc. Et comme ça aprĂšs on pourra retourner vers le Chaudron Baveur pour essayer de retrouver, euh, Judith. InvitĂ© Re Nature londonienneInvitĂ©, le Jeu 24 Mai - 1649 Je poussais un gros soupire un peu comme celui quâon fait pour les anniversaires. Une bonne grosse boule de souffle qui quitte ma gorge un peu coincĂ©e câest que jâai commencĂ©e Ă avoir peur ! Jâavais pas ça, avant, au moment de rencontrer des gens. Mais faut dire, tout est complĂštement diffĂ©rent ici. Le climat ? Au moins, lâautre, câĂ©tait pas Peter Pan je risquais pas de me retrouver coincĂ©e Ă Neverland, ou dĂ©vorĂ©e par des sirĂšnes. MĂȘme si la perspective de devenir pirate Ă©tait attrayante. Peut-ĂȘtre pour une prochaine fois. Et le fait que jâarrive de nouveau Ă respirer sans bafouiller venait du fait que jâavais pas laissĂ© Ă©chapper peut-ĂȘtre lâun des secrets les plus important que jâai eu Ă garder pour moi jusquâĂ maintenant. Et câest trĂšs compliquĂ©, parce que⊠LĂ , jâai lâimpression que câest un secret qui ne concerne pas juste deux personnes, deux amis, mais plutĂŽt lâensemble de la collectivitĂ© sorciĂšre. Jâai jamais eu de responsabilitĂ© aussi lourde avant, et ça arrange pas mon sentiment de perdition. En plus dâĂȘtre vĂ©ritablement perdue, pour le coup, pas seulement dans ma tĂȘte. Mais finalement, jâoublie un peu tout ça en voyant mon nouvel ami parce que jâai dĂ©cidĂ© quâĂ partir de maintenant, on serait amis, faire de la magie comme le monsieur qui vend des baguettes ! Il en fait sans baguettes ! Tout seul ! Juste avec sa main, ses doigts et je sais pas, les atomes ? La Magie ? Mais ça marche comment tout ça dâabord ?! Je reste avec mes grands yeux Ă©carquillĂ©s, la bouche en o ». Jâai bien envie quâil recommence, mais je sais pas si ça serait trĂšs polie de ma part dâinsister. Surtout quâon se trouve en territoire quâest pas celui oĂč on devrait ĂȘtre, si jâai bien tout compris. - Mais câest gĂ©nial ! Tu fais ça comment ? » Oui, je suis un peu plus spontanĂ©e que rĂ©flĂ©chie. Mais, grosse journĂ©e, on pardonne. Surtout quâune nouvelle info trĂšs intĂ©ressante a Ă©tĂ© captĂ©e par mes canaux auditifs et cette info-lĂ , jâĂ©tais pas prĂȘte de la laisser passer ! - Des gaufres ? Oh oui ! Et je me mets Ă sautiller dâenthousiasme pour suivre le pas, parce quâil a quand mĂȘme plus de jambes que moi. Merci, merci ! Mais câest pas pour empoisonner hein ? Ah, non, tâes pas Peter Pan, pis, je te fais confiance ! » Donc, il avait intĂ©rĂȘt Ă en ĂȘtre digne. Mais ça partait plutĂŽt bien, vu quâil allait mâoffrir Ă manger. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re Nature londonienneAshton Parker, le Ven 8 Juin - 1525 De maniĂšre gĂ©nĂ©rale Ashton avait tendance Ă ne pas trop apprĂ©cier les enfants mais il devait bien admettre que celle-lĂ il commençait Ă la tolĂ©rer Ă peu prĂšs. Au dĂ©but il avait eu peur qu'elle devienne un petit pot de colle dont il ne pourrait pas se dĂ©barrasser mais en fait ça allait. Le sorcier n'Ă©tait pas du genre Ă avoir besoin qu'on l'applaudisse Ă chaque fois qu'il accomplissait quelque chose, il avait suffisamment confiance en lui pour que ça ne soit pas nĂ©cessaire, mais de temps Ă autre cela faisait tout de mĂȘme plaisir de voir quelqu'un aussi enthousiaste devant ce qu'il effet, aprĂšs son petit tour de magie avec la brindille, Ruth ouvrit de grands yeux de surprise avec l'expression qui allait avec. C'Ă©tait limite si elle n'allait pas se mettre Ă sautiller sur place d'excitation, alors qu'il ne s'agissait pourtant que d'une simple brindille qui flottait dans les airs au-dessus de sa Ăa vient avec de l'entraĂźnement, et en gĂ©nĂ©ral c'est plus facile pour la plupart des gens si tu utilises une baguette, rĂ©pondit-il avec un clin dâ ensuite la question des gaufres. LĂ encore, la jeune fille parut trĂšs enthousiaste suite Ă sa proposition, puis hĂ©sita en se demandant si elles Ă©taient empoisonnĂ©es. Lançant un regard rapide Ă l'espĂšce de camionnette dans laquelle se trouvait le vendeur de gaufres, crĂȘpes et autres trucs sucrĂ©es trempĂ©s dans du gras, Ashton haussa les Ă©paules en se disant que c'Ă©tait probablement une forme d'empoisonnement. Mais bon l'important c'Ă©tait de faire plaisir aux gosses non ?- Je pense pas que ce soit empoisonnĂ© non, allez vient on va aller en acheter !S'avançant alors dans le parc en vĂ©rifiant rapidement que Ruth le suivait, Parker attrapa Braeden par le bras avant qu'elle ne tue une autre fillette Ă coups de pelle et fit signe Ă Squirtle de venir vers le stand de gaufres. InvitĂ© Re Nature londonienneInvitĂ©, le Jeu 5 Juil - 1930 Il semblait pĂ©dagogue le monsieur. Ou, du moins, habituĂ© aux enfants. Genre, il mâa pas envoyĂ© boulĂ©, mĂȘme quâil sâest targuĂ© de me faire une prestation de magie ! De sa magie ! Magie unique dâailleurs, puisquâil y arrivait sans baguette ! Je ne pouvais pas contenir mon enthousiasme, mais tant pis. Fallait bien que jâintĂšgre les informations, il semblait y en avoir constamment, tout le temps, Ă tout instant dans ce monde ! Ăa faisait tourner la tĂȘte ! On nâĂ©tait pas plus que cette petite brindille, finalement. Avec quelquâun qui fait tourner tous les engrenages derriĂšre ? Mouais, pas sĂ»re. - Supeeeer ! » Jâaimais beaucoup ma baguette, mais plus parce que je la trouvais jolie que par rĂ©elle utilitĂ©, en fait. Jâavais pas trop eu lâoccasion de lâutiliser, faut dire. Jây comprenais pas encore beaucoup, Ă tout ça. Mais je mâadapte vite ! Ăa semble particuliĂšrement important dans un monde qui semble bouger constamment. Etrange, pourtant, jâai lâimpression que ça stagne quand mĂȘme. On voit pas trop les courants. Mais pour le moment, jâacquiesce et je fais un grand sourire au monsieur, avant de le suivre jusquâau camion de gaufres. Il a ses enfants avec lui, et je demande sur le trajet Ă sa fille si on pourra creuser jusquâau centre de la terre avec sa pelle. Elle semble enthousiaste, de ce que je peux en voir, et finalement, je suis plutĂŽt contente de mâĂȘtre perdue, aujourdâhui. JâespĂšre simplement que le monsieur me ramĂšnera au Chaudron-qui-bave, tout de mĂȘme. Ăa serait ballot que Judith sâinquiĂšte alors quâon mâa pas enlevĂ© pour Neverland. Pour une fois que je ne fais pas de bĂȘtises non plusâŠ______________HRPGFin du RP ! Rikka M. BennettPersonnel de Poudlard Re Nature londonienneRikka M. Bennett, le Ven 10 AoĂ» - 2039 Moral Ă zĂ©ro~ 12 AzaĂ«l Peverell ~/!\ Attention /!\Contenu sensible abus d'alcool / agression sexuelleElle ne savait pas comment elle en Ă©tait arrivĂ©e lĂ . L'esprit embrumĂ©, incapable d'aligner deux pensĂ©es cohĂ©rentes, Rikka errait dans les rues de Londres, dĂ©sertes en cette heure tardive. Quelle heure Ă©tait-il exactement, la blonde n'aurait mĂȘme pas su le deviner. Tout ce qu'elle savait, c'Ă©tait qu'elle Ă©tait dans la capitale et qu'il Ă©tait tard, trĂšs tard. Elle n'avait pas prĂ©vu ça. Ni mĂȘme d'ĂȘtre incapable de mettre un pied devant l'autre sans trĂ©bucher et manquer de se vautrer. Elle savait aussi qu'elle Ă©tait dans un Ă©tat pitoyable mais cela ne lâĂ©mouvait mĂȘme pas plus que ça. Pourquoi aurait-elle des remords d'avoir bu ? Pourquoi n'aurait-elle pas pu boire ? Elle Ă©tait une personne comme une autre, avec des envies et des sentiments. Elle avait le droit de faire ce qu'elle d'elle, les immeubles semblaient de grandes colonnes sombres, allĂ©es infinies vers l'inconnu. Les pas de la jeune femme la menaient elle ne savait oĂč, foulant les pavĂ©s avec lourdeur. La blonde Ă©tait fatiguĂ©e. Comme si un Ă©norme poids lui pesait sur les Ă©paules, de plus en plus, l'empĂȘchant d'avancer. Le dos courbĂ©, Rikka avançait. Elle entra dans un petit parc public qui semblait dĂ©sert, mais elle se fichait qu'il y ait quelqu'un ou non. Elle avait juste envie de s'asseoir. Ce qu'elle fit, ou plutĂŽt elle s'affala sur le sol, Ă genoux, Ă cĂŽtĂ© d'un banc. La bouteille qu'elle tenait Ă la main tinta en touchant le sol mais ne se brisa pas. La blonde la regarda, le regard vide, et but une nouvelle gorgĂ©e. Le liquide lui brĂ»la la gorge mais elle n'en avait Gryffondor renifla et se frotta la bouche avec sa manche, avant de prendre appui sur l'assise du banc, la tĂȘte dans sa main. Ses cheveux attachĂ©s en queue de cheval devaient ĂȘtre Ă©bouriffĂ©s Ă l'heure qu'il Ă©tait et son maquillage Ă©tait brouillĂ©. Elle se souvenait avoir pleurĂ© dans ce bar moldu, avant de sortir et de se balader dans les quartiers de Londres. A l'origine, la jeune femme Ă©tait venue pour la journĂ©e Ă la BibliothĂšque afin de continuer Ă travailler. A la fin, elle s'Ă©tait promenĂ©e dans les boutiques moldues, l'esprit lĂ©ger car elle arrivait au bout de son projet d'Ă©criture. Seulement, Ă travers la foule, elle l'avait vu. LUI. Mark. Ce porc. La carapace que Rikka s'Ă©tait forgĂ©e aprĂšs l'incident, trois ans plus tĂŽt, se craquela immĂ©diatement, manquant de se briser ne l'avait pas vue, elle, heureusement. La jeune femme s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©e dans ce bar, Ă proximitĂ©, et avait pris un verre de whisky pour se dĂ©tendre. Cependant, ce verre n'avait pas fait effet et une foule de souvenirs lui Ă©tait revenue en mĂ©moire. Elle avait alors pris un second verre, puis un troisiĂšme. A la longue, elle avait arrĂȘtĂ© de compter. Le barman, un homme, avait Ă©tĂ© gentil avec elle, voyant que la consommatrice Ă©tait trĂšs mal. Il n'avait pas posĂ© de questions, se contentant de la servir quand elle le demandait, tant qu'elle pouvait payer. Au bout de quelques heures, comme elle ne bougeait pas, le barman Ă©tait venu la voir en lui demandant si ça allait. Erreur. La barriĂšre de Rikka s'Ă©tait brisĂ©e et elle avait pleurĂ©. Il l'avait laissĂ©e et lorsqu'il Ă©tait revenu, elle avait demandĂ© Ă avoir une bouteille de whisky puis Ă©tait blonde avait dĂ©ambulĂ© dans la rue, tandis que la nuit Ă©tait tombĂ©e et que tout semblait dĂ©sert. Elle Ă©tait seule au monde. Seule avec ses pensĂ©es obscures et sa bouteille presque vide. L'alcool coulait dans ses veines, lui retirant toute inhibition et lui rappelant cette fameuse nuit oĂč tout avait basculĂ©. Rikka s'entoura de ses bras et se recroquevilla contre le banc, des nouveaux sanglots s'Ă©chappant de sa gorge. POURQUOI ELLE ?DerniĂšre Ă©dition par Rikka M. Bennett le Sam 11 AoĂ» - 907, Ă©ditĂ© 1 fois AzaĂ«l PeverellModĂ©rationSerpentard Re Nature londonienneAzaĂ«l Peverell, le Ven 10 AoĂ» - 2204 T'es claquĂ©. Ta journĂ©e de boulot a Ă©tĂ© Ă©puisante. Et t'as carrĂ©ment l'impression que le peu de pauses que tu t'es octroyĂ©es Ă©taient bien trop courtes. Mais t'es conscient de t'imposer toi-mĂȘme ce rythme effrĂ©nĂ©. Jamais Elly ne te forcerait Ă aller au-delĂ de tes forces si tu ne t'en sentais pas capable. Tu ne penses plus qu'à ça en ce moment. Tu t'obliges Ă suivre un entraĂźnement physique et magique rigoureux. Pendant des annĂ©es et des annĂ©es, tu ne pensais qu'Ă te venger, Ă devenir plus fort, Ă ĂȘtre plus puissant. Mais Ă part t'apitoyer sur ton sort, tu ne faisais pas grand chose pour y remĂ©dier, tu dois bien l' derniers mois Ă l'Ă©cart de tout t'ont permis de te recentrer sur l'important, et surtout, d'accepter ton passĂ© pour enfin commencer Ă avancer. Le fait d'avoir rĂ©ussi Ă devenir Animagus t'a montrĂ© que tu es capable de bien des choses pour peur que tu t'en donnes la peine. T'as repris un peu confiance en toi. Et t'as dĂ©cidĂ© de pas lĂącher, de rester sur une pente positive, au maximum. Et l'entraĂźnement te permet de dĂ©penser ton Ă©nergie dans autre chose que des conneries. Pourtant, t'es toujours loin d'ĂȘtre le dernier pour prĂ©voir les pires coups du monde avec Arty. Mais c'est tout simplement l'adrĂ©naline provoquĂ©e par le faire de faire quelque chose d'interdit. Rien Ă voir avec tes pulsions destructrices d' pote les a encore lui. C'est mĂȘme de pire en pire. Et mĂȘme si t'as appris Ă mieux gĂ©rer ta colĂšre, tu restes quand mĂȘme loin d'ĂȘtre un modĂšle dans le domaine. Disons que ta patience a des limites, et qu'elles sont trĂšs rapidement atteintes. Et ce soir, tu ne te sens pas d'attaque pour gĂ©rer un Arty surexcitĂ© parce qu'il a Ă©tĂ© forcĂ© de passer sa journĂ©e dans un bureau sans se dĂ©penser. Alors tu traĂźnes les rues de la capitale, sans te presser. Tu les connais par coeur pour les avoir foulĂ©es des journĂ©es et des nuits entiĂšres alors que t'avais Ă peine quinze ans. Les quartiers riches de la ville n'ont aucun secret pour toi Ă force des les avoir observĂ©s en espĂ©rant y faire un jour le plus grand casse londonien de la dĂ©cennie. Mais tu finissais toujours par te contenter des petits larcins les plus faciles et les moins risquĂ©s. Le seul gros coup rĂ©ellement planifiĂ© avait fini par ĂȘtre annulĂ© par ta quartiers pauvres et malfamĂ©s, tu les connais aussi. Mieux mĂȘme. Parce que c'est ceux qui t'ont accueilli, avec leur violence, leur illĂ©galitĂ©, leur bienveillance, leur partage et leur loyautĂ©. Un monde dans lequel chacun Ă sa place, la connaĂźt et la respecte sous peine de reprĂ©sailles. Un monde qui te paraĂźt bien plus facile Ă comprendre que celui des hautes sphĂšres sorciĂšres dans lesquelles tu te retrouves Ă faire de la figuration dans un costume. D'ailleurs, souvent, Ă part les vĂȘtements, tu ne fais aucun effort pour avoir l'air Ă ta place dans de telles cĂ©rĂ©monies. Tu prĂ©fĂšres rester toi-mĂȘme en toutes circonstances, peu importe le regard des autres. Ce soir, tes pas t'ont menĂ© dans un parc, comme il y en a des tas dans la capitale. Tu avances en profitant du lĂ©ger souffle du vent, totalement plongĂ© dans tes pensĂ©es. Et tu t'en retrouves sorti par un son, un peu Ă©touffĂ©, provenant de plus loin. Tu continues ta balade sans te presser davantage. Et tu vois une masse sombre, affalĂ©e contre un banc. Tu t'approches de la jeune femme qui empeste l'alcool et semble totalement au fond du gouffre. Tu hausses un sourcil. T'as pas pour habitude de t'occuper des autres. Mais tu te revois, dans des Ă©tats semblables, simplement quelques mois auparavant. Et tu te sens un peu obligĂ© de la Reste pas lĂ , ils vont pas tarder Ă fermer le parc et si tu bouges pas ils sont capables d'appeler les connais. Tu t'es dĂ©jĂ fait avoir plus d'un coup. Quand tu prĂ©fĂ©rais encore dormir en pleine rue, Ă la belle Ă©toile, que de rentrer chez ta tante. Mais ça, par contre, t'as l'impression que c'Ă©tait il y a une Ă©ternitĂ©. Heureusement que tu t'es dĂ©barrassĂ© de cette vieille bique. Rikka M. BennettPersonnel de Poudlard Re Nature londonienneRikka M. Bennett, le Sam 11 AoĂ» - 1315 Moral Ă zĂ©ro~ 12 AzaĂ«l Peverell ~/!\ Attention /!\Contenu sensible abus d'alcool / agression sexuelle Pourquoi moi... Pourquoi... » murmurait Rikka en boucle dans ses sanglots. Une question mille fois rĂ©pĂ©tĂ©e dans les jours qui avaient suivi son viol. Elle n'avait pas trouvĂ© de rĂ©ponse. Personne n'aurait pu. C'Ă©tait ainsi que la vie Ă©tait faite. Alors la jeune femme s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©e derriĂšre un Ă©crin de verre, voulant laisser cette histoire derriĂšre elle. Ăa avait Ă©tĂ© difficile au dĂ©but mais plus les mois passaient, plus elle avait l'impression d'avoir fait un pas en avant. Son Ă©loignement en Australie et ses quelques voyages y Ă©taient pour quelque chose. Rien lĂ -bas ne lui rappelait Mark et cette fameuse nuit. Elle s'Ă©tait acharnĂ©e dans son travail pendant trois longues annĂ©es pour devenir plus forte. Elle Ă©tait rentrĂ©e au pays, certaine de pouvoir faire face. La jeune femme y Ă©tait parvenue un temps, se plongeant dans son projet d'Ă©criture avec passion. Mais depuis son retour, elle avait eu plusieurs occasions de repenser Ă ce qui lui Ă©tait arrivĂ©, notamment ce soir Ă Cannes oĂč le jeune Matt s'apprĂȘtait Ă commettre l'irrĂ©parable. Rikka lui avait parlĂ© et en Ă©tait venue naturellement Ă Ă©voquer son agression, pour lui montrer que la vie n'Ă©tait pas rose pour personne. Y mettre un terme n'Ă©tait pas une solution ; c'Ă©tait bien trop facile et admettre sa lĂąchetĂ©. Il fallait continuer Ă avancer en devenant plus fort. C'Ă©tait ce genre d'Ă©preuve qui le permettait. Sauf qu'Ă l'heure actuelle, la blonde ne se sentait pas forte du tout. PlutĂŽt faible et petite, insignifiante. Un grain de sable au milieu de l'ocĂ©an, ballottĂ© par les bras s'entourant le torse et les genoux plaquĂ©s contre elle, la sorciĂšre sanglotait toujours, comme si en explosant, son Ă©crin avait libĂ©rĂ© la puissance d'un tsunami. Comme si toutes les larmes qu'elle avait retenues pendant trois ans se dĂ©versaient maintenant. MĂȘme si elle se sentait mal en cet instant, pleurer lui faisait du bien. Le poids qui pesait diminuait, la pression relĂąchĂ©e la libĂ©rant. Elle ne s'en rendait pas encore compte. Elle ne se rendait compte de rien, pas mĂȘme de cette silhouette qui avançait dans le parc tranquillement. La tĂȘte baissĂ©e, prostrĂ©e, seule comptait sa peine qui se dĂ©versait en torrents, mouillant son pantalon et creusant des sillons noirs sur ses joues.â Reste pas lĂ , ils vont pas tarder Ă fermer le parc et si tu bouges pas ils sont capables d'appeler les voix qui venait de s'Ă©lever semblait provenir de loin. En rĂ©alitĂ©, elle Ă©tait toute proche mais Rikka avait les oreilles qui bourdonnaient et l'alcool ne l'aidait pas Ă y percevoir clair. C'Ă©tait comme entendre Ă travers l'eau. Alors, elle avait mĂȘme l'impression d'avoir imaginĂ© la voix. Devenais-je folle ? finit-elle par se demander en son for intĂ©rieur sobre. Reniflant, la jeune femme releva la tĂȘte, ce qui lui provoqua le tournis. Elle gĂ©mit et mit du temps Ă focaliser son regard. LĂ se tenait une silhouette. Et sous la lumiĂšre des lampadaires, elle se dĂ©coupait nettement comme Ă©tait masculine. Le mĂ©canisme de dĂ©fense que la blonde avait mis en place vis-Ă -vis des hommes fut exacerbĂ© par le whisky et tous ses poils se hĂ©rissĂšrent d'horreur. â M-Mark... ? balbutia-t-telle. Elle avait du mal Ă voir. Mais oui, elle croyait le reconnaĂźtre. Son subconscient avait besoin que ce soit lui. Va-t'en sal**d ! cria-t-elle bond, Rikka se releva en titubant. Ce qui ne l'empĂȘcha pas de se jeter sur l'homme innocent, sa bouteille retombant Ă cĂŽtĂ© du banc, le faisant tomber vers l'arriĂšre. Toute inhibition Ă©tait en effet envolĂ©e. Jamais la jeune femme n'aurait fait ce genre de choses en temps normal. Cependant, l'alcool l'avait bien amochĂ©e. Va-t'en ! Va-t'en ! Va-t'en ! » rĂ©pĂ©tait-t-elle en martelant son torse de ses petits poings â elle ne pouvait pas faire beaucoup de mal car ses forces n'Ă©taient pas bien dĂ©veloppĂ©es. NĂ©anmoins, l'Ă©nergie du dĂ©sespoir la rendait un peu agressive dans ses coups. Pauvre inconnu. Il n'avait rien AzaĂ«l PeverellModĂ©rationSerpentard Re Nature londonienneAzaĂ«l Peverell, le Mar 14 AoĂ» - 1024 En la voyant assise par terre en train de chialer toutes les larmes de son corps dans un parc en pleine soirĂ©e, t'aurais dĂ» te douter que c'Ă©tait pas une bonne idĂ©e de lui adresser la parole. Mais tu voulais simplement qu'elle soit au courant. Dire que tu pensais faire ta bonne action de la journĂ©e... Ce n'est visiblement pas perçu ainsi par la demoiselle - qui, soit dit en passant, semble vraiment avoir vidĂ© un bar avant de venir - car lorsqu'elle relĂšve la tĂȘte vers toi, elle a surtout l'air... EffrayĂ©e ? Ou en colĂšre peut ĂȘtre. T'as un peu de mal Ă comprendre les Ă©motions des gens, tu galĂšres dĂ©jĂ assez avec les tiennes, faut pas trop t'en demander. Elle t'appelle Mark et t'insulte. Ok, super. Tu notes dans un coin de ta tĂȘte de ne plus jamais essayer d'ĂȘtre sympa avec les inconnus. DĂ©jĂ que cette idĂ©e ne t'effleures quasiment jamais l'esprit, cette fois, tu la bannis totalement. Tu hausses les Ă©paules, prĂȘt Ă faire demi-tour et Ă la laisser lĂ . AprĂšs tout, si elle a envie de se retrouver Ă chialer et Ă dĂ©cuver au poste de police le plus proche, c'est son problĂšme, pas le tien. Les gardes Ă vue moldues, t'as dĂ©jĂ suffisamment donnĂ©. Mais la voilĂ qui te saute littĂ©ralement dessus. Tu dois reconnaĂźtre que tu ne t'y attendais vraiment pas Ă te fait tomber au sol sous la surprise, et commence Ă te tabasser en te disant de partir. Tu n'as pas franchement mal sous ses coups. C'est juste hyper dĂ©sagrĂ©able. Et surtout... T'as rien fait quoi ! T'attrapes aussitĂŽt ses poignets pour l'empĂȘcher de continuer Ă s'acharner sur ton torse et cherches son regard. Elle est complĂštement Ă la masse cette fille. T'as limite envie de l'aider Ă dessaouler d'un simple sort. Le problĂšme, c'est que t'as pas franchement le droit de sortir ta baguette devant elle si elle est moldue. Tu pousses un soupir et essaies d'adopter le ton le plus calme HĂ©, arrĂȘte-toi, si tu veux que j'm'en aille j'm'en vais. J'sais pas qui c'est ton Mark, mais c'est clairement pas moi, alors t'es gentille, t'Ă©vites de m'envoyer Ă l'hĂŽpital pour un truc que j'ai pas finalement, ton ton calme s'est transformĂ© en ton lĂ©gĂšrement moqueur. Faut dire aussi que vu la puissance de ses coups, tu ne risquais pas grand chose. T'as connu bien pire. Cependant, tu prĂ©fĂšres continuer de tenir ses poignets entre tes mains, plutĂŽt fermement. Quoi que tu restes sympa, t'as pas envie qu'elle se retrouve avec les marques de tes mains sur ses poignets. Tu sens toujours le poids de son corps sur le tien, et ce rapprochement que t'as en aucun cas initiĂ© ne te plaĂźt pas des masses. Le contact physique avec les autres, c'est pas ton truc. Tu la repousses gentiment pour te relever, sans pour autant lĂącher ses poignets. Tu l'obliges ainsi Ă se lever en mĂȘme temps que toi, et tu gardes les yeux rivĂ©s dans les C'est bon, j'peux te lĂącher sans que t'essaies de m'Ă©triper ?Non pas que tu aies peur, quoi qu'il arrive, tu doutes que la jeune femme puisse rĂ©ellement te faire du mal, surtout dans son Ă©tat. C'est simplement que t'as pas envie de gĂ©rer une fille complĂštement bourrĂ©e doublĂ©e d'une hystĂ©rique. T'as franchement pas les capacitĂ©s requises pour ça, et encore moins la patience. Rikka M. BennettPersonnel de Poudlard Re Nature londonienneRikka M. Bennett, le Mer 5 Sep - 1818 Moral Ă zĂ©ro~ 12 AzaĂ«l Peverell ~/!\ Attention /!\Contenu sensible abus d'alcool / agression sexuelleToute la colĂšre que la jeune femme avait enfouie en elle durant trois annĂ©es ressortait soudainement, la digue et le bouclier qu'elle avait Ă©rigĂ©s se brisant en mille morceau. Il avait suffi d'un visage parmi la foule pour que le contrĂŽle sur ses sentiments soit perdu. D'accord, l'alcool ingurgitĂ© en quantitĂ© avait beaucoup jouĂ© aussi sur ce point et Rikka s'en voudrait au plus au point une fois qu'elle serait dessoĂ»lĂ©e. Son but n'avait pourtant pas Ă©tĂ© de se mettre minable, elle qui Ă©tait toujours si prudente. La jeune femme avait pensĂ© que l'alcool l'aiderait Ă se dĂ©tendre et Ă reprendre contenance mais Ă©videmment, c'Ă©tait tout l'effet inverse qui s'Ă©tait produit. Sans rĂ©ellement l'apaiser, le whisky l'avait transformĂ©e en petit diablotin et avait fait tout resurgir en une vague qui balayait tout sur son de ses poings fermĂ©s avec l'Ă©nergie du dĂ©sespoir, mĂȘlĂ©e Ă la colĂšre et Ă la tristesse profonde, Rikka ne voyait mĂȘme pas ce qu'elle faisait. L'alcool l'empĂȘchait d'y voir clairement et de rĂ©flĂ©chir sainement. Tout ce qu'elle voyait, c'Ă©tait le visage de Mark, souriant parmi la foule et foulant le sol comme s'il n'Ă©tait pas un monstre. La personne qui l'avait interpellĂ©e dans ce parc n'Ă©tait pas Mark, elle le savait au fond d'elle mais ses sentiments de colĂšre occultaient toute logique. La blonde avait besoin d'un dĂ©fouloir depuis longtemps et maintenant que ses inhibitions s'Ă©taient envolĂ©es, la personne personne qui avait croisĂ© son chemin en payait le prix. MĂȘme si la jeune femme n'Ă©tait pas bien musclĂ©, cela devait ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able. L'inconnu saisit les poignets de la sorciĂšre, sans lui faire mal.â HĂ©, arrĂȘte-toi, si tu veux que j'm'en aille j'm'en vais. J'sais pas qui c'est ton Mark, mais c'est clairement pas moi, alors t'es gentille, t'Ă©vites de m'envoyer Ă l'hĂŽpital pour un truc que j'ai pas larmes ruisselant sur ses joues, la blonde le regarda, penaude. Elle n'avait pas perçu le ton un peu moqueur du jeune homme, les mots arrivant dans sa tĂȘte au compte-gouttes. Son esprit embrumĂ© par le whisky avait du mal Ă donner un sens Ă ses paroles. D'ailleurs, Rikka Ă©tait tellement en train de rĂ©flĂ©chir qu'elle ne bougeait plus, comme paralysĂ©e. L'inconnu esquissa le mouvement de se relever et entraĂźna son agresseur avec lui, toujours ses poignets dans ses mains. Si elle avait Ă©tĂ© sobre, l'ancienne Gryffondor aurait frissonnĂ© Ă ce contact physique â elle ne se serait mĂȘme pas approchĂ©e Ă plus de cinquante centimĂštres du jeune homme â mais depuis quelques temps, ses idĂ©es arrĂȘtĂ©es sur la gente masculine commençaient Ă disparaĂźtre. Peut-ĂȘtre l'aurait-elle laissĂ© faire, alors. Et puis, il avait une raison lĂ©gitime de la tenir ainsi. â C'est bon, j'peux te lĂącher sans que t'essaies de m'Ă©triper ?Les yeux de l'inconnu Ă©taient rivĂ©s sur les siens. Ceux-ci Ă©taient un peu voilĂ©s par la fatigue, l'alcool, les larmes et le mascara, aussi Rikka voyait trouble mais cela suffisait Ă la garder en haleine. Elle cligna plusieurs fois des paupiĂšres, chassant ce voile. Le calme revenu, elle put regarder ce jeune homme et ne le reconnut pas comme Ă©tant Mark, non. Ce n'Ă©tait pas lui. Le soulagement l'envahit et lui rendit un degrĂ© de luciditĂ©. Elle hocha la tĂȘte quand la question posĂ©e percuta son esprit et attendit qu'il lĂącha son emprise sur ses poignets. Elle ne s'Ă©loigna pas pour autant, comme s'il Ă©tait une bouĂ©e de secours. Elle qui Ă©tait au plus bas quelques instants plus tĂŽt.â Je... balbutia-t-elle d'une voix lasse. Je suis nouvelle salve de larmes se mit Ă couler le long de ses joues. Rikka plongea sa tĂȘte dans ses mains et sanglota doucement. Ses excuses, mĂȘme si elle Ă©tait toujours alcoolisĂ©e, Ă©taient sincĂšres. Elle ne connaissait pas ce passant qui avait eu la gentillesse de la prĂ©venir de ne pas rester lĂ . Il n'avait pas mĂ©ritĂ© d'ĂȘtre rouĂ© de coups et d'ĂȘtre insultĂ©. Mais en faisant cela, la blonde visait ce porc de Moldu. Bien entendu, il ne pouvait pas le savoir. Et comment lui expliquer ? Il n'Ă©tait qu'un inconnu. Qui n'en avait certainement rien Ă ficher de ses histoires. NĂ©anmoins, il ne mĂ©ritait pas un tel traitement.â Je suis dĂ©solĂ©e, rĂ©pĂ©ta la jeune femme en essuyant ses joues et en relevant la tĂȘte, espĂ©rant se calmer. Ăa va mieux. Je crois...Elle prit une profonde inspiration, ce qui eut le don de rafraĂźchir son esprit. Elle se sentait toujours ivre mais avait l'impression d'avoir regagnĂ© un peu de contrĂŽle sur ses actions. L'inconnu ne craignait plus rien, la sorciĂšre n'allait plus se jeter sur lui pour le frapper. AzaĂ«l PeverellModĂ©rationSerpentard Re Nature londonienneAzaĂ«l Peverell, le Jeu 4 Oct - 2010 Elle a pas l'air de comprendre grand chose sur le coup. D'un autre cĂŽtĂ©, ce n'est pas Ă©tonnant vu l'Ă©tat dans lequel elle s'est mise. T'es bien placĂ© pour savoir que l'alcool n'est pas franchement le meilleur moyen de faire face Ă la rĂ©alitĂ©. C'est d'ailleurs lĂ son attrait premier. Mais quand on se rend compte de ce qu'il se passe vraiment, c'est toujours une surprise. LĂ , elle finit par se calmer pour finalement hocher la tĂȘte, signe que tu juges assez Ă©veillĂ© pour enfin la lĂącher. Tu recules d'un pas, histoire de ne pas te coltiner les effluves d'alcool qui Ă©manent d'elle, mais tu ne la quitte pas du demoiselle semble se rendre enfin compte de ce qu'elle a fait, et qu'elle ne s'en est pas prise au bon gars. Toujours ça de pris, t'avais moyennement envie qu'elle recommence Ă te frapper pour rien. La voilĂ qui s'excuse avant de se remettre Ă pleurer. Tu la regardes en haussant un sourcil, visiblement mal Ă l'aise face Ă la situation. T'as jamais su gĂ©rer les gens qui pleurent. En fait, t'as surtout envie de les fuir tellement tu n'as pas la moindre idĂ©e de la façon dont tu es sensĂ© rĂ©agir dans un tel cas. DĂ©jĂ , tout contact physique rĂ©confortant est exclu. Tu ne touches pas les inconnus pour si peu. En plus, sait-on jamais, les crises de larmes, c'est peut ĂȘtre contagieux. Ensuite, tu ne vois pas bien ce que tu pourrais lui dire. Tu ne la connais pas, alors tu te vois mal lui balancer que tout va bien se passer, que tout va s'arranger, alors que tu ne connais mĂȘme pas le problĂšme de base. Du coup, tu restes juste plantĂ© lĂ comme un crĂ©tin, incapable de la laisser en plan, parce que quand mĂȘme, t'as cette fichue conscience qui t'en empĂȘche. Elle finit tout de mĂȘme par relever la tĂȘte pour essuyer ses larmes. Il paraĂźt qu'elle va mieux, mais elle a pas l'air sure. Tu hausses les Ă©paules lĂ©gĂšrement pour unique rĂ©ponse. SĂ©rieux, tu peux la laisser seule dans cet Ă©tat ? Tu risques seulement de culpabiliser ensuite alors que tu ne la connais mĂȘme pas. Comme si t'avais pas dĂ©jĂ assez avec tes problĂšmes, te voilĂ qui t'occupe de ceux des autres. T'en as marre de pas ĂȘtre foutu de passer ton chemin sans y repenser Ă deux fois. Dire que la majoritĂ© des gens te prend pour un mec de la pire espĂšce sous prĂ©texte que t'as l'attaque un peu facile...- Tant mieux. T'habites loin ? T'peux pas rester dans les rues comme ça, j'te raccompagne si tu t'es trop sympa. C'est un coup Ă te pourrir ta soirĂ©e. Qu'est ce que tu vas faire si jamais elle se remet Ă chialer et te tombe dans les bras, hein ? Mais c'est franchement pas la peine de regretter de lui offrir ton aide. Tu sais pertinemment que tu ne vas pas la laisser comme ça. Malheureusement. Rikka M. BennettPersonnel de Poudlard Re Nature londonienneRikka M. Bennett, le Sam 27 Oct - 1635 Moral Ă zĂ©ro~ 12 AzaĂ«l Peverell ~L'esprit toujours embrumĂ© par l'alcool, Rikka reprenait un peu le contrĂŽle de soi. Une bonne inspiration, l'air frais de la nuit s'engouffrant dans ses poumons, suffit Ă Ă©claircir ses idĂ©es un minimum pour se rendre compte de son Ă©tat. Et elle se dĂ©testait. Boire de l'alcool n'Ă©tait pas dans les habitudes de la blonde, qui prĂ©fĂ©rait s'abstenir de prendre plus de deux verres au cours d'une soirĂ©e entre amis. De si loin qu'elle put s'en souvenir, jamais elle ne s'Ă©tait retrouvĂ©e ivre. La sorciĂšre n'aimait pas du tout cet Ă©tat Ă l'heure actuelle, surtout quand elle eut pris connaissance de sa violence. Cela non plus, ce n'Ă©tait pas dans ses habitudes. Ce n'Ă©tait pas elle. La colĂšre et le dĂ©sespoir trop longtemps enfouis au fond d'elle l'avaient transformĂ©e en une vraie harpie. Et Rikka n'aimait vraiment pas du tout s'Ă©tait-elle excusĂ©e auprĂšs de cet inconnu qui n'avait rien demandĂ©. Oui, ses excuses Ă©taient sincĂšres et la blonde ne voyait pas quoi dire de plus pour se faire pardonner de son comportement. MĂȘme si cela ne servait pas Ă grand-chose, le mal Ă©tant fait. Rikka se sentait Ă©galement gĂȘnĂ©e de se montrer sous cette apparence, les yeux humides, les joues pleines de mascara coulĂ©, frĂȘle. L'ancienne rouge et or ne le connaissait pas et aurait dĂ» bien s'en ficher de comment il pouvait la voir. Mais voilĂ , elle avait presque honte. Et ça la rendait encore plus mal. Cependant, la jeune femme se concentra pour ne rien laisser paraĂźtre de plus, ayant dĂ©jĂ assez fait. Mieux valait s'en aller et oublier tout ça, du moins pour la nuit. Prendre un bain chaud, retomber en pression, se blottir dans ses draps et prendre un potion de sommeil sans rĂȘve.â Tant mieux, finit par dire l'inconnu. T'habites loin ? T'peux pas rester dans les rues comme ça, j'te raccompagne si tu sorciĂšre marqua un temps d'hĂ©sitation, ne sachant pas trop quoi rĂ©pondre. Pour habiter loin, elle habitait loin de Londres. Mais en transplanant, elle serait Ă Dawlish en moins d'une minute. Le seul hic, c'Ă©tait qu'elle en Ă©tait bien incapable dans cet Ă©tat. Peut-ĂȘtre que Henry, son elfe de maison, aurait pu la ramener. Il lui suffisait de l'appeler et il viendrait immĂ©diatement, aux ordres de sa maĂźtresse. Seulement, c'Ă©tait son jour de repos. En effet, Rikka le traitait non pas en tant qu'esclave mais plutĂŽt assistant et il lui semblait juste de le laisser tranquille au moins une fois par semaine. Il faisait tant, dans son chalet, et l'aidait beaucoup dans ses recherches. MĂȘme l'esprit brouillĂ©, l'Ă©crivaine-en-herbe resterait conforme Ă ses principes.â Euh, je... J'habite Ă Dawlish, dans le Devon, dit-elle en grimaçant. Je pourrais transplaner mais lĂ , j'en suis incapa... Rikka s'interrompit brusquement. se prit lâarĂȘte du nez entre les doigts, comprenant qu'elle venait de commettre une grosse bourde. Parler de transplanage devant un parfait inconnu, en pleine ville remplie de Moldus, ce n'Ă©tait vraiment pas intelligent. Sa langue avait parlĂ© plus vite qu'elle ne l'aurait voulu mais elle ne pouvait pas revenir dessus. Restait Ă espĂ©rer que le gars ne relĂšverait pas. â Je vais appeler le bus, hum, je pense. Elle se laissa tomber en arriĂšre, pour s'asseoir sur le banc. Juste une minute, sa tĂȘte faisait des looping. T'es-tu dĂ©jĂ retrouvĂ© dans cet Ă©tat ? Comment faire pour que ça aille mieux ? Je me sens... totalement Ă la ramasse. Changer de sujet. Tu veux bien rester un peu ? S'il te plaĂźt ?La jeune femme avait envie de rentrer chez elle, oui, mais sans moyen pour y parvenir, elle ne cracherait pas sur un peu de compagnie le temps qu'elle se sentĂźt mieux pour transplaner. Re Nature londonienneContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
LâEUCHARISTIE DON DE LâESPRIT RĂŽle de lâEsprit dans lâĂglise Lorsque JĂ©sus, au soir du Jeudi Saint, parle de son dĂ©part, il place ses disciples dans une situation paradoxale. Rappelons-nous un peu le contexte dĂ©crit dans lâĂvangile de saint Jean Ă partir du chapitre 13. JĂ©sus annonce Lâun dâentre vous va me livrer. » Pierre sâentend dire Donner ta vie pour moi? Trois fois tu me renieras⊠» Et puis Vous serez dispersĂ©s, chacun de son cĂŽtĂ©, et vous me laisserez seul. » JĂ©sus ajoute Oui, je mâen vais et vous serez dans lâaffliction. Mais il est bon que je mâen aille. Si vous mâaimiez, vous vous rĂ©jouiriez. » AprĂšs avoir annoncĂ© des Ă©vĂ©nements dĂ©sastreux une trahison, un reniement, une dispersion, une tristesse, JĂ©sus dit Il est bon que je mâen aille. Si vous mâaimiez, vous vous rĂ©jouiriez. » Et Je vais vers le PĂšre⊠Le PĂšre est plus grand que moi⊠Encore un peu et vous ne me verrez plus, et encore un peu et vous me verrez. » Câest comme si JĂ©sus disait Câest nĂ©cessaire que je mâen aille et câest nĂ©cessaire que vous ne me voyiez plus parce que ma prĂ©sence actuelle est une prĂ©sence dans la chair, donc limitĂ©e. LimitĂ©e aux quelques annĂ©es vĂ©cues ensemble, limitĂ©e en espace, câest-Ă -dire Ă la seule terre de Palestine avec quelques Ă©chappĂ©es au-delĂ des frontiĂšres. Ăa ne peut pas durer comme cela, il faut que je mâen aille. â Mais, Seigneur⊠â LâEsprit viendra, je vous lâenverrai. LâEsprit ne complĂ©tera pas ce que je nâai pas su faire⊠Jâai achevĂ© lâĆuvre de mon PĂšre, je lâai portĂ©e Ă sa totalitĂ©. LâEsprit nâajoutera rien car tout a Ă©tĂ© dit, tout a Ă©tĂ© fait. Je suis, moi, la Parole du PĂšre, le Logos, le Verbe. LâEsprit viendra et vous conduira dans la vĂ©ritĂ© tout entiĂšre. Il prendra de ce qui est Ă moi pour vous le donner. Par consĂ©quent, câest vrai, vous ne me verrez plus et pourtant vous me verrez encore. Parce que lâEsprit vous redira ma prĂ©sence; il vous redira mes paroles, il vous fera faire mes gestes. VoilĂ la nouvelle alliance que JĂ©sus accomplie DANS LâESPRIT ET PAR LâESPRIT. Ceci est important! Si le Christ prie le PĂšre dâenvoyer lâEsprit Ă son Ăglise, ça veut dire que lâĂglise ne peut avoir dâexistence que par lâEsprit. Le PĂšre Afanassieff, un thĂ©ologien orthodoxe et professeur Ă lâInstitut Orthodoxe St-Serge Ă Paris, reprend ceci dans son livre LâĂglise du Saint-Esprit. Sa pensĂ©e est tout Ă fait dans la ligne traditionnelle, reprise par le Concile Vatican II, Ă savoir que lâĂglise est le lieu de lâEsprit Saint. Câest le vieux Credo baptismal quâun chercheur patrologue, lâabbĂ© Nautin, a bien mis en lumiĂšre dans ce livre Je crois au Saint-Esprit dans la sainte Ăglise catholique pour la rĂ©mission des pĂ©chĂ©s. La confession de foi des baptisĂ©s dans lâĂglise primitive Ă©tait celle-ci Je crois en Dieu le PĂšre crĂ©ateur; je crois en son Fils JĂ©sus Christ, nĂ© de la Vierge Marie, qui a souffert; je crois au Saint-Esprit, dans la sainte Ăglise catholique. On ne disait pas je crois Ă la sainte Ăglise catholique, mais je crois au Saint-Esprit dans la sainte Ăglise catholique, pour la rĂ©mission des pĂ©chĂ©s. LâĂglise nâa donc son ĂȘtre que DANS et PAR le Saint-Esprit. Par consĂ©quent, lâĂglise doit sans cesse prier le PĂšre pour que lâEsprit la fasse plus pleinement corps du Christ, Ă©pouse de JĂ©sus-Christ, servante du PĂšre, etc⊠pour que lâEsprit la renouvelle continuellement. VoilĂ pourquoi, elle adresse ces priĂšres au PĂšre Envoie lâEsprit afin que lâĂglise soit sanctifiĂ©e, renouvelĂ©e »; Que le Saint-Esprit lui ouvre lâintelligence de la Parole, la fortifie dans son tĂ©moignage au monde »; Veni, Sancte Spiritus ». Si lâĂglise nâa son ĂȘtre et se renouvelle que dans et par lâEsprit Saint, elle ne peut donc cĂ©lĂ©brer les sacrements que par lui Ă©galement. Elle ne peut prĂȘcher la Parole et opĂ©rer les actes sacramentels que dans la puissance de lâEsprit. LâEsprit Saint rĂ©alise le mystĂšre eucharistique Dans la cĂ©lĂ©bration de lâEucharistie, lâEsprit est invoquĂ© sur lâassemblĂ©e rĂ©unie par lui. Il ne peut y avoir dâassemblĂ©e, de synaxe comme on disait autrefois, que par lâEsprit. Et parce que lâassemblĂ©e est rĂ©unie par lui, câest lâEsprit qui va agir et rĂ©aliser le mystĂšre eucharistique. Selon le tĂ©moignage des Ăvangiles synoptiques, JĂ©sus meurt le Vendredi Saint et va se manifester comme RessuscitĂ© le matin du dimanche, laissant le tombeau vide. Dans les Actes des ApĂŽtres, ce sera aprĂšs quarante jours de manifestations pascales que JĂ©sus donnera un dernier repas aux siens et leur dira Vous allez rester Ă JĂ©rusalem jusquâĂ ce que vous ayez reçu la promesse du PĂšre. » Et saint Luc commentera La promesse du PĂšre, câest lâEsprit Saint. » Saint Pierre reconnaĂźtra la rĂ©alisation de cette promesse dans le bruit du vent violent et lâannoncera dans son premier discours. Imaginons que le soir du Vendredi Saint, Pierre et ses compagnons dĂ©cident de faire ce que JĂ©sus avait fait la veille. Ils prennent du pain et du vin et prononcent les paroles Ceci est mon corps⊠ceci est mon sang⊠» Il nây aurait rien eu parce que JĂ©sus nâavait pas encore Ă©tĂ© glorifiĂ© et lâEsprit nâavait pas encore Ă©tĂ© donnĂ©. Si lâEsprit nâest pas lĂ et sâil nâest pas invoquĂ© par lâĂglise, on aurait beau rĂ©pĂ©ter cent fois ceci es mon corps⊠ceci est mon sang⊠», rien ne se passerait. Si celui qui prĂ©side la cĂ©lĂ©bration nâest pas en communion avec ce que veut lâĂglise de JĂ©sus-Christ pour le mystĂšre eucharistique, il nây a pas de sacrement. Il nây a donc pas de magie. LâEsprit agit et rend prĂ©sent. PRIĂRES EUCHARISTIQUES DâANCIENNES LITURGIES Anaphore du IIIe siĂšcle Que vienne, Seigneur, ton Esprit Saint, quâil repose sur cette offrande de tes serviteurs, quâil la bĂ©nisse et la sanctifie, pour quâelle nous procure, Seigneur, le pardon des offenses et la rĂ©mission des pĂ©chĂ©s, la grande espĂ©rance de la rĂ©surrection des morts, et la vie nouvelle dans le Royaume des cieux avec tous ceux qui te furent agrĂ©ables. PriĂšre eucharistique du IVe siĂšcle tirĂ©e du texte Les Constitutions apostoliques » Nous souvenant de ta passion⊠tu nous as jugĂ©s dignes de nous tenir devant toi⊠Jette un regard bienveillant sur les offrandes que nous te prĂ©sentons⊠Envoie sur ce sacrifice ton Esprit Saint, tĂ©moin des souffrances du Seigneur JĂ©sus », pour quâil fasse de ce pain le Corps de ton Christ, et de cette coupe le sang de ton Christ. Que ceux qui y communient soient affermis dans la piĂ©tĂ©, obtiennent le pardon des pĂ©chĂ©s, soient dĂ©livrĂ©s du diable et de son erreur, soient remplis de lâEsprit Saint, deviennent dignes de ton Christ, entrent en possession de la vie Ă©ternelle, soient rĂ©conciliĂ©s avec toi, MaĂźtre tout-puissant. Nous voyons par ces textes comment lâĂglise attachait une importance capitale Ă lâinvocation de lâEsprit Saint dans la cĂ©lĂ©bration de lâEucharistie. Cette invocation est placĂ©e indiffĂ©remment, soit avant le rĂ©cit de lâinstitution, soit aprĂšs. Ce qui indique bien que lâĂglise, ne vivant que de lâEsprit, se rendait compte que sâil fallait chanter la gloire de Dieu dans le Sanctus et se remĂ©morer dans un mĂ©morial les grands Ă©vĂ©nements du salut et en particulier ceux opĂ©rĂ©s en JĂ©sus Christ, si parmi ces grands Ă©vĂ©nements, il fallait Ă©voquer dans un mĂ©morial de prĂ©sence ce qui sâest passĂ© le Jeudi Saint, tout cela ne peut ĂȘtre vivant pour la communautĂ© rassemblĂ©e que si lâEsprit Saint est invoquĂ©. Ce qui signifie quâune cĂ©lĂ©bration sacramentelle ne peut ĂȘtre limitĂ©e Ă tel mot ou Ă tel geste, mais câest la totalitĂ© de la cĂ©lĂ©bration qui fait le sacrement. Et il ne faut pas oublier que câest une communautĂ© rassemblĂ©e qui cĂ©lĂšbre le mystĂšre eucharistique. Lorsquâil sâagit de la cĂ©lĂ©bration, le prĂȘtre ministre » qui prĂ©side, nous communautĂ© » qui cĂ©lĂ©brons comme sacerdotes », câest-Ă -dire les prĂȘtres de ce sacerdoce commun des baptisĂ©s, nous ne pouvons pas oublier que câest lâEsprit qui agit et qui rend le Christ prĂ©sent. Câest lâEsprit Saint qui donne vie Ă tous les gestes posĂ©s par le ministĂšre de lâĂglise. Le geste de lâĂglise qui se rassemble, celui de chanter le Sanctus, dâĂ©voquer les grands mystĂšres du salut dans la prĂ©face, le geste du Jeudi Saint et celui du Vendredi Saint. Et puis le geste de lâĂglise qui reprend conscience quâelle est lâĂglise des apĂŽtres, des martyrs, de tous ceux et celles qui nous ont prĂ©cĂ©dĂ©s et qui sont entrĂ©s dans la gloire de Dieu, de ceux et celles qui ont Ă©tĂ© avec nous ou qui vivent aujourdâhui avec nous. Câest tout cela que lâEsprit anime et, par consĂ©quent, cela devient le corps et le sang de notre Seigneur JĂ©sus Christ. Et comme le disaient les textes eucharistiques ci-haut mentionnĂ©s, par le fait mĂȘme que cette Ăglise rassemblĂ©e reçoit lâEsprit, ses pĂ©chĂ©s sont pardonnĂ©s, elle est plus Ă©troitement rassemblĂ©e dans lâunitĂ©, elle entre dans la vĂ©ritĂ© et est davantage rĂ©conciliĂ©e avec le PĂšre. Alors nous pouvons dire que lâEsprit Saint nous fait don de lâEucharistie. Il donne Ă lâĂglise et Ă chacun dâentre nous de discerner ce que saint Paul appelle le corps du Seigneur ». Or le corps du Seigneur » nâest pas seulement de croire que le Christ est vraiment prĂ©sent, mais câest Ă©galement de discerner que nous sommes » le corps du Christ. Nous avons besoin, Ă certains jours, de discerner profondĂ©ment que notre communautĂ© est rassemblĂ©e par la synaxe eucharistique le mot synaxe veut dire rassemblement ». Notre assemblĂ©e se constitue toujours, de plus en plus, en corps du Christ. Et parfois, lorsquâune petite difficultĂ© ou un petit accrochage survient en communautĂ©, vivre cette cĂ©lĂ©bration liturgique en sĂ©rĂ©nitĂ©, en ouverture, demande de surmonter la blessure au cĆur. Et câest lâEsprit qui permet cela. Il refait notre unitĂ© parce que câest lui qui fait lâEucharistie et nous rassemble en communautĂ© cĂ©lĂ©brante. Alors nous refaisons plus profondĂ©ment notre unitĂ©. Prochain article LâEucharistie, repas du Seigneur âââââââââ Cette sĂ©rie de rĂ©flexions sur le mystĂšre eucharistique sont des extraits de confĂ©rences donnĂ©es Ă la communautĂ© par le PĂšre Pierre Michalon, sulpicien de France 1911-2004. Il a Ă©tĂ© expert au Concile Vatican II dans le SecrĂ©tariat pour lâunitĂ© des chrĂ©tiens et directeur du centre UnitĂ© chrĂ©tienne Ă Lyon de 1954 Ă 1991.
Paroles de la chanson Y'a pas de doute, il faut que je m'en aille par VĂ©ronique Sanson Y a pas de doute lĂ faut que je bouge Toujours Ă la mĂȘme heure quand le soleil se couche Ăa mâarrive quand jâai le cafard MĂȘme quand tout va bien jâai lâimpression dâavoir Mille voix Qui chuchotent et qui viennent dire Ă mon oreille Quâest-ce quây a Quâest-ce que tâas Quâest-ce que tâas Quâest-ce quây a Qui bourdonnent dans lâair comme un essaim dâabeilles Quâest-ce que tâas Quâest-ce quây a LĂšve-toi LĂšve-toi Je les Ă©coute Moi je les Ă©coute Y a pas de doute lĂ faut que jây aille Et comme tous les jours changer de paysage Chaque fois que jâai envie de rire Chaque fois que lâamour mâenlĂšve Ă mon dĂ©lire Jâentends mille voix Qui chuchotent et qui viennent dire Ă mon oreille Quâest-ce quây a Quâest-ce que tâas Quâest-ce que tâas Quâest-ce quây a Qui bourdonnent dans lâair comme un essaim dâabeilles Quâest-ce que tâas Quâest-ce quây a LĂšve-toi LĂšve-toi Moi je les Ă©coute Moi je les Ă©coute Elles guident ma route Et moi je les Ă©coute dire Y a pas de doute lĂ faut que jâmâen aille Et comme tout le temps changer de paysage Ăa mâarrive quand jâai le cafard MĂȘme quand tout va bien jâai lâimpression dâavoir Mille voix Qui chuchotent et qui viennent dire Ă mon oreille Quâest-ce quây a Quâest-ce que tâas Quâest-ce que tâas Quâest-ce quây a Et bourdonnent dans lâair comme un essaim dâabeilles Quâest-ce que tâas Quâest-ce quây a Quâes-ce quây a Quâest ce que tâas Ăternellement lĂ comme un essaim dâabeilles Quâest-ce quây a Quâest-ce que tâas Quâest ce que tâas Quâes-ce quây a Ăternellement lĂ comme un essaim dâabeilles Quâest-ce qui a Quâest-ce que tâas Quâest ce que tâas Quâes-ce qui a Ăternellement lĂ comme un essaim dâabeillesâŠ
il faut que je m en aille paroles